User:Electron/Gallery 07
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Sat Mar 10 22:35:24 CET 2012 & Sat Mar 10 23:16:01 CET 2012 & Sat Mar 10 23:36:29 CET 2012
[edit]-
Français : Les naufragés de l’air.
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Français : Le ballon retombait définitivement sur le sable…
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Français : Gédéon Spilett.
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Français : « Monsieur Smith, voulez-vous fuir ? »
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Français : Ils se rencontrèrent près de la nacelle.
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Français : Et tous, unissant leurs voix…
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Français : « Et cela se mange ? » demanda Pencroff.
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Français : Les éboulis avaient formé un entassement de rochers.
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Français : « Quels sont donc ces oiseaux ?... »
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Français : Le reporter s’assit sur une roche, sans mot dire.
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Français : « Je n’ai jamais été si ému de ma vie. »
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Français : Pencroff remarqua des passées fraîches d’animaux.
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Français : « Hurrah ! » s’écria-t-il.
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Français : Pencroff vint en rampant à l’orifice du couloir.
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Français : À ce signal, qui était comme attendu…
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Français : Ce corps était celui de l’ingénieur.
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Français : Il dut s’appuyer sur le marin.
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Français : Il s’endormit sur la litière.
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Français : Pencroff essaya ensuite de frotter deux morceaux…
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Français : Les chasseurs virent Top aux prises…
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Français : « Harbert ! Nab ! Voyez ! » s’écria Pencroff.
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Français : Les ascensionnistes, se faisant la courte échelle…
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Français : À mesure que s’évasait le cratère…
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Français : « J’aperçois une petite rivière », dit Harbert.
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Français : Gédéon Spilett les inscrivait à mesure.
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Français : Pencroff marchait en tête, précédé de Top.
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Français : De là ils aperçurent une fumée…
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Français : Nab et Pencroff préparèrent des grillades…
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Français : Trois mille briques furent rangées…
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Français : Les colons fabriquèrent une poterie commune.
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Français : Ils procédaient au lavage de leur linge.
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Français : Étant couché sur le sable…
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Français : Cependant le soleil s’avançait lentement.
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Français : Les colons s’avancèrent prudemment.
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Français : Ces animaux, vigoureusement frappés…
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Français : L’opération fut difficile.
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Français : Top s’arrêta devant un serpent.
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Français : Top, lancé en l’air…
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Français : « Voilà de la nitro-glycérine ! »
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Français : Pencroff, armé d’un pic…
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Français : Et, quittant la place, Cyrus Smith…
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Français : Les colons descendaient lentement.
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Français : Cette voûte ressemblait à une nef de cathédrale.
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Français : L’échelle fut définitivement installée.
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Français : Des centaines de petits animaux…
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Français : Une petite saignée…
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Français : « Savez-vous combien un grain de blé… »
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Français : Le plus court fut de traverser la Mercy.
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Français : « Laissez-moi croire… » dit Pencroff.
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Français : Du haut de Granite-house.
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Français : Île Lincoln
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Français : « Regarde bien, Nab. »
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Français : « Voilà qui réjouira l’ami Pencroff ! »
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Français : « Mais, qu’y a-t-il dans cette caisse ? »
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Français : Du reste, les colons furent satisfaits.
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Français : « Monsieur Cyrus, je suis superstitieux. »
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Français : « Sais-tu ce que c’est que cette plante-là ? »
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Français : On fit halte en cet endroit.
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Français : Les singes regardaient les colons.
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Français : La berge était surélevée.
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Français : Une balle le frappait entre les deux yeux.
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Français : C’était un morceau de forte toile.
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Français : L’opération dura près de deux heures.
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Français : Ordre fut donné à Top de demeurer sous les fenêtres.
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Français : Le singe, mortellement frappé…
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Français : Le singe fut terrassé et garrotté.
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Français : Pencroff avait délié ses bras.
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Français : Ce fut un travail considérable.
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Français : Des mannequins effrayants suffirent à les écarter.
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Français : Les colons revêtirent enfin du linge blanc.
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Français : Jup passait une partie de son temps à la cuisine.
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Français : Aussitôt Pencroff courut à son champ de blé.
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Français : Les produits affectaient les formes les plus réjouissantes.
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Français : On causait de l’île et de sa situation isolée.
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Français : Une quille, longue de trente-cinq pieds…
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Français : « Quel monstre ! » s’écria Nab.
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Français : « Du tabac ! du vrai tabac ! »
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Français : Un petit sac fut attaché au cou de l’albatros.
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Français : Et le temps s’écoulait sans ennui.
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Français : Il n’y vit rien de suspect.
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Français : Top venait visiter son ami.
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Français : Le 10 octobre, le bateau fut lancé à la mer.
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Français : « Lofe, Pencroff, lofe », dit Harbert.
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Français : C’était Cyrus Smith et Nab.
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Français : « Terre ! » cria Pencroff.
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Français : Harbert montra entre les arbres une habitation.
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Français : Harbert fut terrassé par un être sauvage.
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Français : « Un feu ! un feu ! » s’écria Pencroff.
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Français : Cyrus Smith lui mit la main sur l’épaule.
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Français : Un long soupir s’échappa de sa poitrine.
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Français : « Qui êtes-vous ? » demanda-t-il à Cyrus Smith.
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Français : Pencroff était enchanté de son ouvrage.
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Français : Il avait saisi le jaguar à la gorge.
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Français : Ayrton.
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Français : Il était tête nue, les bras croisés.
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Français : « Voici ma main ! » dit l’ingénieur.
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Français : L’ingénieur les boucha au moyen d’un bouchon…
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Français : Maître Jup avait posé avec un sérieux…
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Français : Ils s’étaient abattus par centaines de mille.
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Français : Ils revinrent avec plusieurs chapelets de canards.
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Français : L’ingénieur se penchait à son oreille et lui disait…
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Français : Cyrus Smith examina ce point.
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Français : « En effet, c’est un navire », dit Ayrton.
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Français : « Le pavillon noir ! » s’écria Ayrton.
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Français : Il respira, et, se haussant sur les chaînes…
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Français : S’étant fixé solidement, Ayrton écouta.
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Français : « Que fais-tu là ? » dit Bob Harvey.
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Français : Il enjambait les bastingages et se précipitait…
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Français : Aussitôt, une détonation plus violente…
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Français : Le fracas des boulets sur les roches…
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Français : Le brick, soulevé sur une sorte de trombe liquide.
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Français : « Ce que j’ai été, Pencroff ! »
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Français : On trouva une vingtaine de barils.
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Français : « Ceci ? » répliqua Pencroff.
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Français : Que d’heures il avait passées à les frotter.
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Français : Les colons furent conviés à ce travail.
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Français : « Ce n’est pas le vent qui a renversé ce poteau. »
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Français : Une détonation éclata et un cri de douleur lui répondit.
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Français : Harbert ouvrit les yeux.
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Français : « Nab ! Top, Nab ! » répéta l’ingénieur.
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Français : « Je suis encore bien faible, mon pauvre Pencroff ! »
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Français : Gédéon Spilett était prêt à tout événement.
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Français : Le chariot fut amené. Pencroff y attela l’onagga.
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Français : L’ascenseur fut mis en mouvement.
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Français : Pencroff montra un objet placé sur cette table…
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Français : Le jeune convalescent avait commencé à se lever.
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Français : Pencroff redescendit au moyen d’une corde.
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Français : La nuit se passa sans incident.
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Français : « Dans quelques instants », murmura Gédéon Spilett...
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Français : « Mais ils vont venir ! » s’écria Ayrton.
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Français : Cinq corps, étendus sur la berge !
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Français : Les colons visitèrent même de sombres tunnels…
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Français : « Le volcan n’est donc pas totalement éteint ? »
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Français : On fit plus : on visita le gouffre.
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Français : « Vois-tu », dit Gédéon Spilett à Nab...
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Français : Les colons considéraient la cime du mont Franklin.
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Français : Les échos répercutaient le fracas du tonnerre…
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Français : Les colons étaient dans le canot.
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Français : Un long objet fusiforme flottait à la surface des eaux…
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Français : « Capitaine Nemo, vous nous avez demandés ?... »
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Français : « Ai-je eu tort, ai-je eu raison ?... »
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Français : « Ce coffret... là... renferme pour plusieurs millions… »
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Français : Cyrus Smith, élevant la main…
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Français : Le Nautilus s’enfonçant peu à peu…
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Français : « Il me semble, dit Ayrton, entendre… »
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Français : Les choses avaient bien changé !
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Français : Là, par des fentes à peine visibles…
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Français : La position n’était plus tenable…
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Français : Quel spectacle que ce combat entre l’eau et le feu !
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Français : Une explosion ébranla les couches de l’air.
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Français : Les bras d’Ayrton s’étendirent…
Sat Feb 18 18:30:39 CET 2012 & Sat Feb 18 18:58:36 CET 2012
[edit]-
Français : LE COMTE : « Voici ma carte. » LE CAPITAINE : « Voici la mienne. »
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Français : Ces officiers écoutèrent gravement…
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Français : Ben-Zouf
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Français : « Bien sûr, il fait des vers ! » se dit Ben-Zouf.
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Français : « Présent ! » répondit Ben-Zouf.
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Français : « Ma foi, dit-il, cela regarde les astronomes. »
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Français : Le chacal, posé au sommet de la roche…
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Français : Il croisa, en montant, Ben-Zouf qui redescendait.
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Français : Des eaux tumultueuses, grondantes…
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Français : Hector Servadac le secoua sans plus de façon.
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Français : Véritables hippogriffes, c’est à peine si leurs pieds touchaient le sol.
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Français : L’instrument ne marqua que 66 degrés.
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Français : Ben-Zouf, une longue-vue aux yeux…
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Français : « Eh non ! Ce n’est pas la lune ! » dit le capitaine Servadac.
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Français : Il se livrait à des calculs furibonds.
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Français : Une maison avec une grosse calotte sur la tête.
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Français : Le capitaine Servadac courut vers lui.
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Français : Le Lieutenant Procope.
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Français : Le capitaine Servadac regardait d’un oeil farouche l’immense mer.
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Français : « Monsieur le comte, dit le capitaine, je vous le demande en grâce. »
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Français : Ils arrivèrent devant une étroite porte, toute ouverte.
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Français : « Le tombeau de saint Louis messieurs » dit le capitaine.
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Français : Ils s’y précipitaient aussitôt, se battant avec fureur.
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Français : « Allons, leste, garçons. »
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Français : La Dobryna, poussée par le vent, s’y précipita.
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Français : « Que veut le caporal Pim ? » demanda le brigadier Murphy
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Français : Un des servants amena sur un chariot un projectile.
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Français : « M. le comte Wassili Timasheff », dit Servadac.
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Français : « Monsieur le capitaine a bien dit Corfou ? » dit le major.
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Français : « Vous êtes ici sur un sol que couvre le pavillon britannique ! »
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Français : Au cri du matelot, tous avaient couru à l’avant.
-
Français : Ce n’était qu’une simple feuille quadrillée.
-
Français : Des plaques de neige étincelaient sur les pentes des talus.
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Français : C’était un fragment de marbre jauni.
-
Français : Une véritable grêle d’étoiles filantes…
-
Français : Nina et sa chèvre Marzy.
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Français : Ils dirigèrent une mousquetade nourrie…
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Français : Isac, hors de lui, se précipita vers l’officier.
-
Français : Isac Hakhabut.
-
Français : Ils accostèrent la boutique flottante.
-
Français : Le capitaine Servadac prit la parole.
-
Français : Espagnols et matelots russes se mirent à la besogne.
-
Français : Les deux chevaux volaient au-dessus des obstacles.
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Français : Une lueur apparaissait au-dessus de l’horizon du sud.
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Français : Une vaste caverne apparut, qui resplendissait de lumière.
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Français : Il ne voyait aucun navire apparaître.
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Français : Ben-Zouf exécuta un pas très connu à l’Élysée-Montmartre.
-
Français : Les deux explorateurs, la lunettes aux yeux…
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Français : Nina balança deux ou trois fois sa main…
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Français : Le capitaine Servadac devint bientôt l’égal de son professeur.
-
Français : Armé d’un bâton, il se jeta dans la mêlée.
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Français : Le comte étreignit sur sa poitrine le courageux officier.
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Français : « Là ! là ! » s’écria le capitaine.
-
Français : « Il vit ! » dit le lieutenant Procope.
-
Français : Palmyrin Rosette.
-
Français : « Que vous m’ouvriez, monsieur Ben-Zouf
-
Français : « Des nouvelles d’Europe ! » dit Isac.
-
Français : « Élève Servadac, cinq cents lignes pour demain ! »
-
Français : Ben-Zouf arriva, apportant le breuvage en question.
-
Français : « Donnez-nous des nouvelles d’Europe! »
-
Français : « Vous êtes sur ma comète ! »
-
Français : L’illustre Herschell put la suivre…
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Français : La comète de Donati brillant avec tant de splendeur…
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Français : « Monsieur le comte Timascheff », dit Servadac.
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Français : Il crut reconnaître un point brillant que ne portait aucune carte.
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Français : Lorsqu’il revint d’un assez long évanouissement, il se trouva seul.
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Français : Ils avaient l’air de gracieux Esquimaux.
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Français : Le professeur communiqua un jour son travail.
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Français : « On ne respire pas en mathématiques, monsieur ! »
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Français : « Est-ce que tu as des parents, Nina ? » dit Pablo.
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Français : Quelques instants plus tard, ils débouchèrent sur les hautes roches.
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Français : « Maître Isac », dit alors le capitaine.
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Français : « Vous avez des pièces d’argent ! » s’écria le professeur.
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Français : « Messieurs, voici la longueur exacte du mètre terrestre. »
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Français : L’aiguille du peson oscilla.
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Français : « Cette substance n’est rien moins qu’un tellure d’or.
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Français : Que ces nuits galliennes étaient belles.
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Français : Le lieutenant Procope ne put mieux répondre qu’en lisant…
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Français : Les satellites de la planète étaient visibles à l’oeil nu.
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Français : Ils se sentaient rapprochés par le danger commun.
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Français : « Les prix d’Europe », répondit simplement le capitaine.
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Français : « Mein Gott ! » s’écria Isac tout d’un coup.
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Français : Saturne et ses satellites.
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Français : Il se dessine sur l’horizon comme une arche immense.
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Français : De fréquents conciliabules entre l’ordonnance et le cuisinier…
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Français : Français, Russes, Espagnols étaient attablés…
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Français : Ben-Zouf tendait son bras vers le littoral.
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Français : Précédés de Ben-Zouf, ils s’engagèrent…
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Français : Ce n’était pas sans peine que les deux chevaux avaient été descendus.
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Français : Il passait son temps à compter et recompter l’argent.
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Français : Les Galliens venaient se refaire à ces rayons vivifiants.
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Français : Palmyrin Rosette se prenait la tête à deux mains.
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Français : « Poussez-la un peu du doigt, monsieur Ben-Zouf.
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Français : Palmyrin Rosette sauta à la gorge d’Isac.
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Français : « Mon capitaine, voyez donc ! » dit Ben Zouf.
-
Français : « Le major Oliphant, je crois ? » dit le capitaine.
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Français : Il fit connaître au comte le résultat de sa visite.
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Français : Le capitaine Servadac prit d’abord la parole.
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Français : Tout le monde s’employa à la couture de ces bandes.
-
Français : Dirent ce que furent les lamentations d’Isac...
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Français : « Ah ! mauvais élève » repris le professeur.
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Français : Le professeur fut introduit le second, mais garrotté…
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Français : « L’Europe ! la Russie ! la France ! »
Wed Jan 04 00:19:00 CET 2012
[edit]-
Français : « Ami », dit-il.
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Français : Kin-Fo.
-
Français : Wang.
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Français : Les deux amis s’en allèrent en flânant.
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Français : Le sien-cheng retourna la carte.
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Français : Suivis respectueusement des gens de la maison.
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Français : D’un coup de ciseaux bien affilés.
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Français : « C’est tout vu ! » répondit Mlle Nan.
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Français : Lé-ou entendit : « Petite soeur cadette. »
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Français : « Connaissez-vous Duvillars ? »
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Français : Alors apparaît le catafalque.
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Français : La plaine chinoise n’est qu’un vaste cimetière.
-
Français : Une jeune Tankadère…
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Français : « Mourir ! » répondit le philosophe.
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Français : Soun n’était pas homme à résister.
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Français : Il errait au milieu des rues.
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Français : « Ce sera pour aujourd’hui », se dit Kin-Fo.
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Français : Soun s’en alla absolument abasourdi.
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Français : On en rit jusqu’au fond des provinces.
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Français : Une interminable avenue.
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Français : Il s’approcha et lut.
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Français : C’était la contrée du « loess ».
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Français : Il remonta la berge du fleuve Jaune.
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Français : C’est dans cet équipage…
-
Français : Une rue chinoise.
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Français : « Pas ruiné ! » criait Kin-Fo.
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Français : Ce fut comme une grappe de clowns.
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Français : Les bonzes la voyaient souvent…
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Français : Le moulin à prières.
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Français : Cortège d’une mariée.
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Français : D’énormes cerfs-volants lumineux.
-
Français : Kin-Fo tendit la main à la jolie Lé-ou.
-
Français : « Interdiction ! Interdiction ! »
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Français : À cette hauteur, le Peï-ho…
-
Français : Pêche au cormoran.
-
Français : Ces volatiles plongeaient…
-
Français : « Sont-elles chargées ? » demanda Craig.
-
Français : Le capitaine ne riait plus.
-
Français : « Que peut durer ce calme ? »
-
Français : « Frrr ! Frrr ! » firent Craig et Fry.
-
Français : Soun fut lancé à la mer.
-
Français : « Ce coquin de capitaine ! »
-
Français : Ils voguaient de conserve.
-
Français : Évidemment, il y avait lutte.
-
Français : « Vous faites du feu avec de l’eau ? »
-
Français : « Hourra ! » répondit Fry.
-
Français : La queue lui resta dans la main.
-
Français : Le guide précédait Kin-Fo.
-
Français : « La Grande-Muraille ! » dit le guide.
-
Français : Kin-Fo et Soun furent introduits dans un large vestibule.
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Français : « Tu as offensé Bouddha ! »
-
Français : La charmante Lé-ou apparaissait, tenant la fameuse lettre.
Mon Dec 26 00:13:45 CET 2011 & 00:39:22 CET 2011 & 00:50:27 CET 2011
[edit]-
Français : Briant et Moko firent preuve d’une adresse remarquable.
-
Français : Cette eau ne provenait que des paquets de mer.
-
Français : Briant, saisi par l’enlacement des eaux…
-
Français : La pension Chairman.
-
Français : Doniphan.
-
Français : Baxter.
-
Français : Gordon.
-
Français : Briant et Jacques.
-
Français : Ils poussèrent inutilement des cris de détresse.
-
Français : Quelle est cette terre qui semble inhabitée ?
-
Français : Ils s’amusaient à ramasser des coquillages.
-
Français : Moko, Garnett et Service.
-
Français : Jenkins et Iverson.
-
Français : Webb, Cross et Wilcox.
-
Français : Des phoques s’ébattaient à l’accore des brisants.
-
Français : On fut réduit à étendre des prélarts goudronnés.
-
Français : « Je ne peux pas ! » répétait Costar.
-
Français : Déjà Doniphan promenait sa lunette…
-
Français : Ils durent se frayer un passage à la hache.
-
Français : L’eau était douce !
-
Français : Ils se glissèrent le long de l’étroite berge.
-
Français : Là, entre les racines d’un hêtre…
-
Français : Gordon avait imaginé de lancer quelques fusées.
-
Français : Sous l’abris de cette tente...
-
Français : Tous, attelés à quelque pesante pièce de bois.
-
Français : On obtint ainsi un bâti solide.
-
Français : À l’extrémité de cette sorte de chèvre…
-
Français : Le débarquement se fit aux cris de joie des petits.
-
Français : Baxter parvint à percer un trou.
-
Français : « Enfin, nous la tenons ! » s’écria Webb.
-
Français : Ils s’avancèrent jusqu’au-dessus de French-den.
-
Français : « C’est le corps d’un chacal ! »
-
Français : Avec quelle ardeur on se remit à l’ouvrage.
-
Français : « Oui !... Oui !... Hurrah pour Gordon ! »
-
Français : Service et Garnett confectionnèrent un grand bonhomme.
-
Français : Les jeunes bucherons se mirent à la besogne.
-
Français : Baxter s’occupa de rehisser un pavillon neuf.
-
Français : Service n’était plus maître de sa fougueuse monture.
-
Français : « Ah ! si je la rattrape ! »
-
Français : Deux des tucutucos rôtissaient…
-
Français : Soudain un sifflement se fit entendre.
-
Français : L’animal aurait entraîné Baxter.
-
Français : Les travaux durèrent trente jours.
-
Français : Malgré le bon vouloir de Service…
-
Français : Briant, Jacques et Moko s’embarquèrent.
-
Français : Doniphan avait pris l’attitude d'un boxeur.
-
Français : Briant se précipita sur le fauve.
-
Français : L’appareil, incliné sur la brise...
-
Français : Un véritable chantier s’organisa.
Sat Dec 24 22:07:39 CET 2011 & 22:43:17 CET 2011 & 22:57:44 CET 2011
[edit]-
Français : Avec quelle amabilité ils présidaient à la distribution.
-
Français : Le lieutenant Jasper Hobson.
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Français : « Allez, Joliffe ! »
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Français : « C’est mon voyageur ! »
-
Français : Ils frictionnèrent le nouveau venu.
-
Français : « Le fort Reliance ? »
-
Français : Le capitaine ayant réuni les hommes…
-
Français : « Cela va bien. »
-
Français : Le couple fut précipité dans la neige…
-
Français : Ils comprenaient la nature.
-
Français : Ils pouvaient facilement distinguer…
-
Français : Il s’entretenait avec le sergent Long.
-
Français : Il s’agissait de creuser dans ces masses glacées.
-
Français : Pendant quarante-huit heures…
-
Français : Il leur adressa la parole en anglais.
-
Français : La vie de ceux qu’il portait…
-
Français : Tous deux disparurent…
-
Français : Une main vigoureuse les retirait de l’abîme.
-
Français : Il montra la mer sans limites.
-
Français : Les empreintes laissées par ces ruminants.
-
Français : Plusieurs centaines de ces oiseaux…
-
Français : « Ce sont les pas d’une personne qui danse ! »
-
Français : Un campement provisoire…
-
Français : « Mes amis… » leur dit-il.
-
Français : Jasper Hobson et Mac Nab tracèrent au cordeau…
-
Français : Et bientôt tous ces bois, traînés par des chiens…
-
Français : Souvent Mrs. Paulina Barnett les accompagnait.
-
Français : Pendant des heures entières ils restaient assis…
-
Français : À neuf heures, les deux traîneaux étaient arrivés à la baie.
-
Français : De ce point ils purent aisément observer.
-
Français : Les chasseurs durent s’avancer.
-
Français : « Et à moi ! » répondit un étranger…
-
Français : « Les dames aiment les belles fourrures. »
-
Français : Un pays nouveau naissait.
-
Français : Ce jour-là fut un jour de fête.
-
Français : Mrs. Paulina Barnett faisait la lecture.
-
Français : Les chiens s’échappèrent en jetant des aboiements.
-
Français : Ce ne fut pas sans peine que la bête fut extraite.
-
Français : Des êtres vivants sortirent de la hutte.
-
Français : Après s’être restaurés…
-
Français : C’est encore plus beau qu’une aurore boréale !
-
Français : Les ours occupaient le toit.
-
Français : Mrs. Paulina Barnett serra la main du brave Long.
-
Français : Mrs. Paulina saisissant alors un des pistolets…
-
Français : Il y eut des cris mêlés à des hurlements.
-
Français : « Voyez à quoi ressemble notre maison ! »
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Français : La rupture des glaces s’opérait…
-
Français : Les eaux étaient douces.
-
Français : Souvent ils pouvaient le voir, seul, silencieux…
-
Français : Chacun put suivre les progrès du phénomène.
-
Français : « Rassurez-vous, caporal ! »
-
Français : Il montrait le poing au soleil.
-
Français : « Je ne le pense pas… »
-
Français : Il boudait dans sa chambre.
-
Français : Il prit pour chantier…
-
Français : Ils déjeunèrent.
-
Français : De nombreux animaux à fourrures regardaient les voyageurs.
-
Français : De là le lieutenant Hobson put observer la muraille.
-
Français : « Tenez bon, sergent ! »
-
Français : Et le caporal Joliffe qui en raffolait…
-
Français : Le caporal défendait les terrains ensemencés.
-
Français : « Nous nous enfonçons peu à peu ! »
-
Français : Jasper Hobson demeura courbé sous le fouet de l’ouragan.
-
Français : Le lieutenant promit d’être prudent…
-
Français : « Pas par là ! » dit-il.
-
Français : « Sergent ! sergent ! où êtes-vous ? »
-
Français : « On doit nous voir aussi ! »
-
Français : « Tiens… vois, Madge… »
-
Français : Il se contentait de le retourner.
-
Français : C’était le corps de la jeune Esquimaude Kalumah !
-
Français : « Madame Paulina ! Madame Paulina ! »
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Français : Les lames couvraient en grand son kayak…
-
Français : Kalumah, ayant aperçu le petit enfant, le couvrit de baisers.
-
Français : Le lieutenant leur attacha au cou un billet en toile gommée…
-
Français : Jasper Hobson fut atterré.
-
Français : Les loups eux-mêmes venaient jusqu’à portée de fusil…
-
Français : « Mes amis » dit-il.
-
Français : C’était un ours polaire, en effet…
-
Français : On construisit en plus deux traîneaux-chariots.
-
Français : Aussi, en tournant ces montagnes de glace…
-
Français : « Il faut passer pourtant » dit le sergent Long…
-
Français : Marbre lança son noeud coulant et le serra vivement.
-
Français : Pour être franc, tout le monde recula…
-
Français : L’eau fut projetée à une grande hauteur.
-
Français : « Il est temps de revenir sur nos pas. »
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Français : « Ce n’est point un brouillard, c’est un « frost-rime. »
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Français : Le lieutenant Hobson prit hauteur.
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Français : Quand un bruit inattendu les arrêta.
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Français : C’était comme un assaut de blocs de glace qui marchait sur l’île.
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Français : « Les malheureux ! » murmura-t-il.
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Français : « À nous ! À nous ! »
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Français : Il observait l’état de la mer…
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Français : Mrs. Paulina Barnett sanglotait !
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Français : Le bâtis inférieur flottait déjà…
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Français : Il en fut quitte pour un bain…
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Français : On fut même obligé de suspendre l’embarquement…
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Français : Jasper Hobson visita les amarres…
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Français : On produisit même une grosse fumée…
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Français : Mrs. Paulina Barnett avait regardé Madge…
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Français : « Terre ! » dit-elle.
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Français : Les naufragés tombaient à genoux…
Sat Dec 17 19:40:14 CET 2011 & 20:12:54 CET 2011
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Français : Jean-Sans-Nom
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Français : Les élections amènent des collisions sérieuses.
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Français : Sir John Colborne, Gilbert Argall, Colonel Gore et Lord Gosford.
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Français : On avait été jusqu’à pendre en effigie le gouverneur.
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Français : Rip, de la maison Rip and Co.
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Français : M. de Vaudreuil.
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Français : Les patriotes conduits à la prison de Montréal.
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Français : Walter Hodge s’était précipité sur Simon Morgaz.
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Français : La rue du Petit–Champlain, à Québec.
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Français : Maître Nick lut la lettre avec une extrême attention.
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Français : L’un des innombrables cousins de Maître Nick était chef des Peaux-Rouges.
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Français : Tom faisait claquer son fouet.
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Français : « Vous avez une place ? »
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Français : Clary de Vaudreuil.
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Français : La place du marché Bon Secours, à Montréal.
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Français : Maître Nick tira de sa poche une liasse de bank-notes.
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Français : Le notaire fut salué d’un cordial « bonjour, maître Nick ! »
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Français : Ils avaient l’habitude des grandes chasses.
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Français : « Le Fils de la Liberté qui vous a écrit, messieurs. »
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Français : Un coup de trompette fut donné.
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Français : Jean faisait ostensiblement le métier de pêcheur.
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Français : Jean remettant parfois plus d’argent…
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Français : Le cotre arriva devant Québec.
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Français : Les hommes de ces canots étaient de race indienne.
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Français : Jean avait rejoint le patron.
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Français : Les pêcheurs sont très habiles à manœuvrer au milieu de ces eaux furieuses.
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Français : Après un dernier « au revoir », Jean disparut sous les arbres.
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Français : Eh ! reprit le vieil homme, êtes-vous sourd ? »
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Français : « Au feu, le traître !... Au feu, Simon Morgaz ! »
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Français : Cette maison était humble et misérable.
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Français : Ils étaient là, près d’elle, assis à ses côtés.
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Français : Au village de Walhatta…
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Français : « Mes gars, soyez les bienvenus, car vous arrivez au bon moment. »
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Français : Thomas Archer les attendait avec son buggie.
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Français : L’indien donnant à son geste une ampleur caractéristique.
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Français : Thomas Archer avait à s’occuper de la table.
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Français : Catherine, faisant signe à ses onze filles de faire la révérence.
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Français : « Honneur à Nicolas Sagamore! »
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Français : C’est de cette façon que se termina le deuxième jour de fête.
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Français : En tête marchaient Bernard Miquelon et Rose Archer.
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Français : Une escouade de nègres spécialement engagés pour ce service.
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Français : Un homme se tenait sur le seuil.
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Français : « En avant, Hurons ! » hurla Lionel.
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Français : Ce jour-là, force n’était point restée à la loi.
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Français : L’énergique femme sut faire respecter elle et les siens.
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Français : Les paroisses accoururent aux meetings.
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Français : Un détachement accourut pour prêter main-forte.
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Français : « Halte ! et livrez-nous les prisonniers ! »
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Français : Un premier boulet emporta deux Canadiens.
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Français : Jean-Sans-Nom s’était battu comme un lion.
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Français : M. de Vaudreuil avait été renversé d’un coup de sabre.
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Français : Une vingtaine d’habitations réduites en cendres.
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Français : Pourquoi l’eût-on empêchée de passer ?
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Français : Il lui fallut faire face aux deux coquins.
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Français : Une quarantaine de patriotes étaient restés prisonniers.
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Français : Michel et Jacques blessés emportés par leur père et leurs frères.
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Français : Les habitants avaient quitté leurs maisons.
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Français : Une partie de la colonne Whiterall revenait.
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Français : La campagne battue par des détachements de cavalerie.
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Français : « C’est la femme de ce brave Simon Morgaz ! »
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Français : Maître Nick à Walhatta.
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Français : Les Hurons étaient prêts à se mettre en campagne.
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Français : Il se cachait au fond des masures abandonnées.
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Français : Jean fut pris.
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Français : Le temps était épouvantable.
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Français : « Donnez-donc ! » dit le major Sinclair.
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Français : Le sergent l’avait reconduit à travers la cour.
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Français : « Oui, les guerriers de ma tribu ! » répondit maître Nick.
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Français : Ils avaient pris place dans la charrette du fermier.
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Français : Les troupes occupaient la rive gauche du fleuve.
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Français : « Vous prendrez les fusils de ceux qui seront tués ! » répondit Chénier.
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Français : Là, il y eut massacre de gens sans armes.
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Français : « À moi !... À moi ! » s’écria Bridget.
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Français : « Oui, je suis Jean Morgaz. Frappez-nous donc !... »
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Français : Vers onze heures du matin, les préliminaires de l’attaque commencèrent.
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Français : Il eut été impossible de s’abriter.
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Français : Le passage était forcé.
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Français : Clary, agenouillée, soulevant sa tête, lui parlait !...
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Français : La Caroline, se penchant sur l’abîme, disparut dans le gouffre.