User:Sichek/Ferdinand Walsin Esterhazy

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Portrait de Ferdinand Walsin Esterhazy publié par celui-ci dans Les dessous de l'affaire Dreyfus, Paris, Fayard,‎ 1898, 226 p., p. 33.

Choses à faire

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  • demander le renommage de la catégorie "Ferdinand Walsin Esterházy" de Wikimedia Commons en "Ferdinand Walsin Esterhazy". Voir ici. ✓ Done fait !--Jebulon (discuter) 15 février 2015 à 16:47 (CET)
  • Illustrations :
    • Maurice Weil
    • La poignée de main d'Henri d'Orléans (J'en ai trouvé une caricature. Est-ce ce que vous cherchez ?)--Jebulon (discuter) 15 février 2015 à 21:52 (CET)
      @Jebulon:  : Oui, tout à fait. Il en existe plusieurs illustrations, plus ou moins "mordantes" et au moins une laudative et anti-dreyfusarde. Il serait intéressant de pouvoir les collecter.
      Je vous remercie encore pour votre aide précieuse, ici comme sur Wikimedia Commons ! Il faut vraiment que je m'y remette, mais je vais attendre de pouvoir prendre quelques congés, pour faire tout cela à tête reposée. --Sichek (discuter) 16 février 2015 à 09:31 (CET)
      • ✓ DoneFait ici Maintenant, vous pouvez me remercier (même si ce n'est pas une poignée de main à proprement parler)--Jebulon (discuter) 21 février 2015 à 14:32 (CET)
    • caricature de Delegorgue, « la question a été posée » (Le Rire ?) (Si c'est le corps d'Henry veillé par une sentinelle, j'ai trouvé (par Ibels))--Jebulon (discuter) 15 février 2015 à 21:52 (CET)
      @Jebulon:  : Il s'agit bien d'Ibels, dans Le Sifflet, n°32, 8 septembre 1898. Elle est mentionnée notamment dans Le Sifflet (1) sur caricaturesetcaricature.com. --Sichek (discuter) 16 février 2015 à 09:31 (CET)
      • ✓ DoneFait ici. Comme la précédente, c'est une reprise de la caricature d'origine (dans le même ouvrage), mais je suis content d'avoir trouvé ça pour vous. J'y ajoute un petit cadeau qui manquait à la collection et qui vous sera peut-être utile. Bon, vous n'êtes pas comme le canon de 120, maintenant, vous ne pouvez plus reculer Clin ! Ne manquez pas de jeter un coup d'oeil à mes sources (dans le pages de description des fichiers, il y a les liens). Vous y trouverez des perles ! Bien à vous.--Jebulon (discuter) 21 février 2015 à 14:32 (CET)
  • Articles :

Choses faites

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  • (X) Finir de corriger sur Wikimedia Commons (et sur les wikis qui l'utilisent à tort) le fichier "File:Bordereau.jpg" qui n'est évidemment pas "Le bordereau", mais probablement "un" bordereau des dossiers du Bureau des Statistiques, et qui n'a évidemment pas Esterhazy comme auteur

Généalogie

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Chronologie

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  • décembre 1846, mariage de Ferdinand Walsin Esterhazy avec Marie-Thérèse-Zélie Dequeux de Beauval[1]
  • 16 décembre 1847, naissance à Paris[2]
  • 1er septembre 1957, mort de Ferdinand Walsin Esterhazy[3]
  • octobre 1860, entrée au lycée Bonaparte[4]
  • 1863, quitte le lycée et obtient son baccalauréat ès sciences avec la mention « passable » en avril, puis à nouveau en juillet[5]
  • 16 avril 1864, baccalauréat ès lettres avec mention « bien »[6]
  • 15 novembre 1865, inscription à la faculté de droit[7]
  • 27 décembre 1865, mort de Marie-Thérèse Esterhazy[8]
  • 1866 (ou 1867), échec au concours d'entrée à Saint-Cyr[9]
  • 30 mai 1867, décoré de l'ordre tunisien du fr:Nichan Iftikhar de 3e classe[10]
  • 31 janvier 1868, engagement dans la Légion romaine comme chasseur de 2e classe[11]
  • 11 avril 1868, promu caporal[12]
  • 19 novembre 1868, promu sergent[13]
  • 22 mai 1869, promu sous-lieutenant[14]
  • 12 mars 1870, démission de la Légion romaine[15]
  • 26 juin 1870, entrée à la fr:Légion étrangère avec le grade de sous-lieutenant[16], [Note 1]
  • juillet 1870, affectation à Saïda[17]
  • 19 juillet 1871, entrée en guerre
  • 27 septembre 1870, affectation au fr:2e régiment de zouaves[18]
  • 30 octobre 1870, nommé officier d'ordonnance du général Rebillard, commandant la 2e brigade de la 2e division du 15e corps[19]
  • 9 novembre, fr:bataille de Coulmiers[20]
  • 17 novembre 1870, nommé lieutenant à titre provisoire[21]
  • 2 au 4 décembre, bataille d'Orléans, puis proposition pour la Légion d'honneur et nomination au grade de capitaine[22], [Note 2]
  • 13 janvier 1871, engagement à Arcey[23]
  • 24 janvier 1871 (?), bataille d'Héricourt[24]
  • 27 janvier 1871 (?), engagement à La Lisaine[25]
  • 28 janvier 1871, armistice
  • 1er février 1871, nommé rapporteur près le conseil de guerre de la 2e division du 15e corps[26]
  • 20 mai 1871, mise en disponibilité du général Rebillard[27]
  • septembre 1871, retour à fr:Oran, hospitalisation à l'hôpital militaire[28]
  • 12 décembre 1871, mort du général Ladislas Esterhazy
  • 31 décembre 1871, rétrogradé au rang de sous-lieutenant par la Commission de révision des grades[29]
  • 1872, convalescence en France toute l'année[30]
  • fin 1872, nommé au 3e zouaves à Philippeville[31]
  • 11 août 1873, blâme à la suite de ses tentatives de se faire recommander pour la Légion d'honneur[32]
  • 11 février 1874, promu lieutenant[33]
  • 1874, affectation au 51e ligne[34]
  • 17 octobre 1874, nommé officier d'ordonnance du général Grenier, qui commande la division à laquelle appartient le 51e[35]
  • 1874… La garçonnière du 9 rue des Écuries-d'Artois (fr:rue d'Artois)[36]
  • 9 juin 1876, départ en retraite du général Grenier, Esterhazy devient documentaliste à la « Réunion des officiers »[37]
  • 1876-1877 (?), liaison avec Léonide Leblanc[38], liaison avec la marquise Anforti[39]
  • 12 février 1877, affecté au Service des renseignements[40]
  • 1877, début de la liaison avec Marie Montchanin, danseuse de l'Opéra[41], [Note 3]
  • février 1880, astreint à rejoindre son affectation au 51e, bénéficie d'un congé de maladie de trois mois[42]
  • 14 septembre 1880, promu capitaine et transféré au 135e d'infanterie (fr:Cholet)[43]
  • 1881, début de la relation avec Madame de Boulancy[44], [45]
  • août-décembre 1881, campagne de Tunisie[46]
  • 17 février 1882, nommé « chef de cercle » à fr:Sfax[47]
  • décembre 1882 (?), retour en France, congé de maladie de six mois, prolongé jusqu'à l'été 1884[48]
  • 1885 (?), affecté aux chasseurs alpins (fr:Marseille)[49]
  • 6 février 1886, mariage avec Anne-Marie de Nettancourt-Vaubécourt[50]
  • automne-hiver 1886, congé de maladie après les grandes manœuvres d'été[51]
  • printemps 1887, retour à Paris[52]
  • 12 octobre 1887, naissance d'Everilda[53]
  • février 1888, achat du domaine de Dommartin la Planchette[54]
  • juillet 1888, nommé adjudant-major au 18e bataillon de chasseurs (fr:Courbevoie)[55]
  • 25 février 1889, naissance de Valentine[56]
  • 1889, affaire des billets à ordre de Jacques de Nettancourt[57]
  • 1892, achat des immeubles de la rue des Cascades à Ménilmontant[58]
  • 1892, renoue avec Gaston Grenier, beau-frère du capitaine Crémieu-Foa[59]
  • 1er juin 1892, témoin du capitaine Crémieu-Foa lors du duel avec fr:Édouard Drumont[60]
  • 20 juin 1892, témoin du capitaine Crémieu-Foa lors du duel avec Pradel de Lamase[61]
  • 23 juin 1892, duel Morès-Mayer[62]
  • 10 juillet 1892, promu au grade de commandant[63]
  • 2 août, après son affectation au 110e de ligne (fr:Dunkerque), congé de maladie pour le reste de l'année[64]
  • 29 août 1892, témoigne au procès Morès[65]
  • 1892 (?), liaison avec Mlle Lévindré (Mlle de Lineuil)[66]
  • janvier 1893, affectation au 74e d'infanterie (fr:Rouen)[67]
  • printemps 1894, Grenier le recommande à Jules Roche[68]
  • 1894 (?) Esterhazy devient le collaborateur du commandant Octave Biot, qui signe « Commandant Z » dans fr:La Libre Parole [69]
  • juin 1894, il s'entremet à la demande de Weil auprès de La Libre Parole au profit du général Edon[70]
  • juin 1894, lettres aux Rothschild[71]
  • 20 juillet 1894, 1re entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen à l'ambassade, rue de Lille[72]
  • 27 juillet 1894, 2e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen [73]
  • août 1894, entrevue au café Victor, à Rouen avec le lieutenant Bernheim qui lui fait parvenir le Règlement sur le service des bouches à feu de siège et de place et la « réglette de correspondance » servant à régler le tir du canon de 120[74]
  • 6-9 août 1894, Esterhazy aux écoles à feu au Camp de Châlons[75]
  • 13 août 1894, 3e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen[76]
  • 21 août, article du « Commandant Z » dans La Libre Parole sur la réorganisation des régiments d'artillerie [77]
  • c. 27 août 1894, rédaction du « bordereau »[78]
  • 1er septembre 1894, 4e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen[79]
  • 5 septembre 1894, 5e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen[80]
  • 6 septembre 1894, 6e entrevue avec Maximilien von Schwartzkoppen[81]
  • 27 septembre - 4 octobre 1894, série d'articles du « Commandant Z » dans La Libre Parole sur la formation des divisions provisoires de cavalerie[82]
  • 13 octobre 1894, von Schwartzkoppen reçoit la « réglette de correspondance »[83]
  • 1895, début de sa liaison avec Marguerite Pays[84], [Note 4]
  • début 1895, retour à Paris, 27 rue de la Bienfaisance[85]
  • 1895-1897, Esterhazy en relation avec différents membres de L'Épée et la Plume[86]
  • printemps 1895, livraison à von Schwartzkoppen d'une note sur le plan XIII[87]
  • 18 mai et 15 juin 1895, notes du Nachrichtenburo à von Schwartzkoppen sur la médiocre qualité des renseignements apportés par Esterhazy[88]
  • premier semestre 1895, lettre à fr:Edmond de Rothschild offrant des renseignements sur Drumont et La Libre Parole[89]
  • 1er juillet 1895, Picquart prend la tête du Bureau des Statistiques
  • juillet 1895, requête d'Esterhazy auprès du capitaine Le Rond sur les obus allongés de 80[90]
  • 14 septembre 1895, article d'Esterhazy dans La Libre Parole sur la passivité du contre-espionnage français face à l'espionnage allemand[91]
  • 1896, Esterhazy contribue à L'Autorité[92]
  • début 1896, Esterhazy installe Marguerite Pays au 49 fr:rue de Douai[93]
  • fin février-début mars 1896, Esterhazy fait copier les illustrations des cours polycopiés de l'École normale de tir sur le nouveau fusil Lebel par le soldat Écalle[94]
  • mars 1896, le « petit bleu » et un second brouillon de lettres sont interceptés[95]. Picquart se renseigne sur Esterhazy auprès du commandant Curé et le fait surveiller par le commissaire Desvernine de la Sûreté[96]
  • avril 1896, Esterhazy rencontre von Schwartzkoppen encore à deux reprises [97]
  • mai-juillet 1896, rédacteur publicitaire pour Gabriel de Zogheb[98]
  • 20 juillet 1896, fr:Maurice Weil recommande Esterhazy au ministère de la guerre pour un poste à la Section technique de l'infanterie ou au Bureau des Statistiques[99]
  • 7 août, entrevue d'Henry et de Lauth avec l'indicateur Richard Cuers[100]
  • 14 septembre 1896, L'Éclair révèle le contenu du bordereau[101]
  • septembre 1896, le général Guerrier demande des explications sur la fausse citation à l'ordre de l'armée en 1881[102]
  • second semestre 1896, Esterhazy se fait recommander au près du général Billot, ministre de la guerre, par les parlementaires fr:Jules Roche, La Ferronays, Lareinty, Adrien de Montebello[103]
  • novembre 1896, Maurice Weil s'entremet en faveur d'Esterhazy auprès du grand rabin fr:Zadoc Kahn et de la baronne de Rothschild[104]
  • novembre 1896-printemps 1897, Esterhazy s'entremet pour le mariage de son neveu Christian [105]
  • novembre 1896, Esterhazy s'associe à (?) pour lancer une maison close 43 rue du Rocher[106]
  • 31 octobre - 1er novembre 1896, fabrication du faux Henry[107]
  • 10 novembre 1896, Le Matin publie le fac-similé du bordereau[108]
  • 11 novembre 1896, lettre anonyme à Maurice Weil qui la transmet au général Billot[109]
  • décembre 1896, nouvelles démarches auprès de Billot pour un poste à Paris[110], démarche de Grenier auprès de Henry[111]
  • fin mars 1897, le général Giovaninelli, commandant du 3e corps dont dépend le régiment d'Esterhazy, lui laisse entendre qu'il doit quitter l'armée, mais reconduit son congé de maladie pour 6 mois, avec mise automatique en non-activité le 17 août[112]
  • mars 1897, campagne de La Libre Parole et L'Autorité contre Billot, inspirée sinon rédigée par Esterhazy[113]
  • 16 octobre 1897, le général Gonse charge Du Paty de Clam du cas Esterhazy, avec Henry[114]
  • 19 octobre 1897, 1re lettre anonyme signé Espérance[115]
  • 22 octobre 1897, dernière entrevue avec von Schwartzkoppen[116] et 1re rencontre avec Paty de Clam et Gribelin au parc de Montsouris, puis avec Henry[117]
  • 25 octobre 1897, Esterhazy reçu au ministère de la guerre, puis lettre à Billot[118]
  • 29 Scheurer-Kestner reçu par le président fr:Félix Faure[119] ; 1re lettre d'Esterhazy au président de la République[120]
  • 30 octobre 1897, Scheurer-Kestner reçu Billot[121]
  • 31 octobre 1897, Esterhazy fait publier par Le Matin, L'Éclair et Le Temps le compte-rendu de l'entretien Scheurer-Kestner Billot, lançant la campagne de presse contre Scheurer-Kestner[122] ; 2e lettre d'Esterhazy au président de la République, mettant en cause Picquart[123]
  • 5 novembre 1897, 3e lettre d'Esterhazy au président de la République menaçant de révéler la lettre « cette canaille de D. » (le « document libérateur »[124] ; Billot saisit le général Saussier du cas Esterhazy[125]
  • 7 et 9 novembre 1897, Esterhazy convoqué par Saussier qui exige la restitution du « document libérateur »[126]
  • 10 novembre, Marguerite Pays expédie à Picquart le télégramme du « demi-dieu » et Esterhazy lui envoie le télégramme « Blanche », interceptés et communiqués le lendemain au conseil des ministres par Henry. Ouverture d'une information contre Picquart[127]
  • 11 novembre 1897, Scheurer-Kestner et fr:Mathieu Dreyfus mettent en commun leurs informations sur Esterhazy[128]
  • c. 14 novembre 1897, Esterhazy fait publier par La Libre Parole le dossier préparé par Henry sur Picquart[129]
  • 16 novembre 1897, publication de la lettre de Mathieu Dreyfus à Billot dénonçant Esterhazy[130]
  • 16 novembre 1897, départ de von Schwartzkoppen, nommé à la Garde impériale[131]
  • 17 novembre 1897 interview d'Esterhazy par Le Matin, affirmant que Dreyfus a imité son écriture (le « manuscrit d'Eupatoria »)[132], [Note 5]
  • 17-20 novembre 1897, 1re enquête sur Esterhazy par le général de Pellieux[133]
  • 21 novembre 1897, ouverture par le général de Pellieux de la 2e enquête décidée en conseil des ministres et ordre donné à Picquart de regagner la France[134]
  • 28 novembre 1897, Le Figaro publie la « lettre du Uhlan » communiquée par Madame de Boulancy à Scheurer-Kestner[135], [136]



  • 17 août 1897, mise en « non-activité pour infirmités temporaires »
  • 24 août 1898, « mise en réforme pour méconduite habituelle »
  • 21 mai 1923, mort du comte Jean de Voilemont
  • 20 février 1949, le débit de tabac

Illustrations

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Category:Ferdinand Walsin Esterhazy


En France

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En Europe

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Pièces d'archives

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Autres protagonistes

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Chansons

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Avant le procès Esterhazy :

« Somm' tout' là d'dans que reste-t'-y

Que reste-t'-y pour nous d'potable ?

Y'a le commandant Esterhazy

Qu'est un pauvr'bougre pas coupable.

Oui mais, est-c'que l'governement

Saura remplir sa lourde tâche[145]. »

Postérité (autres)

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  • 1894 - L'Homme à l'origine de l'affaire Dreyfus, , , 56 p.[Note 9]

Œuvres

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  • Ferdinand Walsin Esterhazy, Batailles de Malplaquet et de Denain, Combat du col d'Exilles, Publication de la Réunion des officiers, 1877, 40 p.
  • Ferdinand Walsin Esterhazy, Les dessous de l'affaire Dreyfus, Fayard, 1898, 226 p.

Bibliographie

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Bibliographie principale

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  • Marcel Thomas, Esterhazy ou l'envers de l'affaire Dreyfus, Vernal/Philippe Lebaud, 1989, 401 p., 978-2865940493.

Bibliographie secondaire

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Témoignages, souvenirs et archives judiciaires

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  • L'affaire Dreyfus. Le procès Zola devant la cour d'assises de la Seine et la cour de cassation (7 février-23 février-31 mars-2 avril 1898) : compte rendu sténographique in extenso et documents annexes, Stock, Le Siècle, 1898, 546 p..
  • Le procès Dreyfus devant le conseil de guerre de Rennes (7 août-9 septembre 1899) : compte-rendu sténographique in-extenso, Stock, Le Siècle, 1900, 826 p..
  • fr:Henri-Gabriel Ibels, Allons-Y! Histoire Contemporaine (1898), Stock, 1898, 116 p.
  • John Grand-Carteret, L'affaire Dreyfus et l'image: 266 caricatures françaises et étrangères, Flammarion, 1898, 352 p..
  • fr:Théodore Reinach, Histoire sommaire de l'affaire Dreyfus, Ligue des droits de l'homme, 1924, 258 p..
  • fr:Maximilian von Schwartzkoppen, Les carnets de Schwartzkoppen (La vérité sur Dreyfus), Rieder, 1930, 376 p.

Archives de presse

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Madame de Boulancy :

Marguerite Pays :

Les duels Crémieu-Foa:

La lettre de Mathieu Dreyfus à Billot :

L'interview d'Esterhazy :

Portaits d'Esterhazy :

Lettre du uhlan :

Le conseil de guerre :

Autres :

Les "aveux" :

Notes et Références

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Notes

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  1. Sur les incorporations depuis un grade au titre étranger : « Le seul cas que l'on puisse signaler sous le Second Empire est celui d'un faux comte, fils et neveu de généraux, que ses origines familiales et ses protections ont fait nommer directement sous-lieutenant dans la Légion Étrangère en juin 1870 : il s'agit de Charles-Marie-Ferdinand Walsin-Esterhazy, appelé à connaître la célébrité en raison de son triste rôle dans l'affaire Dreyfus. » dans William Serman, p. 182.
  2. « M. Esterhazy assiste à divers combats livrés par l'armée de la Loire et s'y fait remarquer par son entrain, sa bravoure. » Conseil de guerre de Rennes, « Rapport du colonel Kerdrain sur les faits reprochés à M. le commandant Walsin-Esterhazy, actuellement en non-activité pour infirmités temporaires et traduit devant un Conseil d'enquête », p.  401
  3. « D'une bravoure à toute épreuve, il eut des duels retentissants et des aventures piquantes qui n'eussent pas manqué d'effaroucher les âmes prudes d'une garnison de sous-préfecture mais qui, dans ce Paris toujours indulgent à la jeunesse, même dans ses manifestations les plus tapageuses, lui donnèrent une notoriété de bon aloi. »

    et

    « Lié par les voeux les plus tendres à une danseuse de l'Opéra que se disputèrent tour à tour l'Armée, la Diplomatie et l'Administration, il jugea à propos un beau matin de mettre la mer entre sa maîtresse et lui [...] L'officier, pour des raisons que dictait seul son coeur, demandait tout à coup à servir en Afrique. Esterhazy en quittant Paris et l'Opéra avait juré de mourir. »

    Gil Blas, 17 novembre 1897
  4. « Une assez jolie brune, forte et potelée, gracieuse… » selon Le Matin, 11 janvier 1898.
  5. Marcel Thomas mentionne le 16 novembre par erreur, lire Le Matin, 17 novembre 1897.
  6. Sur Le Sifflet, lancé en 1898 par fr:Henri-Gabriel Ibels en réaction au Psst… ! antidreyfusard de fr:Caran d'Ache, lire Raymond Bachollet.
  7. Le « document libérateur » désigne l'une des pièces du « dossier secret » constitué par le colonel Henry contre Dreyfus, dont Esterhazy fait état fin 1897 dans ses lettres de chantage adressées au président de la République fr:Félix Faure, afin de mettre en cause le colonel Picquart, son principal accusateur. Voir Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 283-285.
  8. Dreyfus porte au chevilles les marques des fers de la « double boucle » du bagne. Sur Orens et l'affaire Dreyfus, lire Bruno de Perthuis.
  9. fr:Philippe Oriol mentionne une précédente bande dessinée parue en 1948 sur le même sujet, dans fr:Le Soir. Blog de la Société internationale d'histoire de l'affaire Dreyfus, 13 septembre 2014

Références

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  1. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 15.
  2. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 16.
  3. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 16.
  4. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 17.
  5. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 18.
  6. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 19.
  7. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 20.
  8. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 20.
  9. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 22.
  10. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 23.
  11. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 25.
  12. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 25.
  13. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 25.
  14. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 25.
  15. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 30.
  16. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 30.
  17. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 30.
  18. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 33.
  19. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 34.
  20. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 34.
  21. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 34.
  22. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 35.
  23. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 36.
  24. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 36.
  25. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 36.
  26. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 37.
  27. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 37.
  28. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 38.
  29. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 39.
  30. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 40.
  31. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 40.
  32. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 40.
  33. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 41.
  34. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 45.
  35. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 42.
  36. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 42.
  37. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 53-54.
  38. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 55-60.
  39. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 52.
  40. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 60.
  41. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 63.
  42. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 67.
  43. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 68.
  44. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 72-73.
  45. Gil Blas, 6 décembre 1897.
  46. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 70-71.
  47. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 75.
  48. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 79 et 99.
  49. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 99.
  50. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 92-94.
  51. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 100.
  52. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 100.
  53. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 100-101.
  54. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 103.
  55. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 104.
  56. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 110.
  57. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 114.
  58. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 116.
  59. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 103.
  60. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 133.
  61. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 135.
  62. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 135.
  63. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 139.
  64. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 140.
  65. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 137.
  66. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 122.
  67. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 145.
  68. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 153.
  69. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 196.
  70. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 158.
  71. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 162-163.
  72. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 173.
  73. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 177.
  74. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 193.
  75. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 178.
  76. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 179.
  77. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 179.
  78. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 181.
  79. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 183.
  80. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 184.
  81. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 184.
  82. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 186.
  83. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 193-194.
  84. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 217 et 219.
  85. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 195.
  86. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 197.
  87. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 198.
  88. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 199.
  89. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 202-203.
  90. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 206.
  91. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 204.
  92. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 203.
  93. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 219.
  94. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 207.
  95. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 208-210.
  96. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 215.
  97. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 208-216.
  98. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 222.
  99. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 229.
  100. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 226.
  101. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 242
  102. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 251-252
  103. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 226.
  104. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 233.
  105. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 237 et suiv., 252,
  106. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 239-241
  107. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 243
  108. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 243
  109. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 244 et 247
  110. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 245
  111. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 246
  112. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 248
  113. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 250
  114. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 260
  115. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 262
  116. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 267
  117. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 268-271
  118. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 268-275-276
  119. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 279
  120. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 283
  121. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 279
  122. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 279
  123. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 283
  124. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 284
  125. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 287
  126. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 288-289
  127. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 291-294
  128. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 299
  129. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 300
  130. L'Aurore, 16 novembre 1897.
  131. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 303
  132. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 275 et 302
  133. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 301 et 304
  134. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 304
  135. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 306
  136. Le Figaro, 28 novembre 1897.
  137. Marcel Thomas, Esterhazy…, p. 90.
  138. Gil Blas, 17 novembre 1897.
  139. Le Matin, 17 novembre 1897
  140. Patrice Boussel, p. 267.
  141. Henri-Gabriel Ibels, p. 8.
  142. Théodore Reinach, Histoire sommaire…, p. 59
  143. "La vie illustrée", 15 août 1899.
  144. Esterhazy dépeint par Théodore Reinach, Histoire sommaire…, p. 59-60.
  145. John Grand-Carteret, p. 46

À revoir (group=?)

[edit]
  1. « L.D.P. » = fr:Ligue des Patriotes ?
  2. L'attribution de cette phrase au commandant Ravary est ironique… « Le commandant Ravary manifeste une telle partialité et une telle méconnaissance de la loi que son greffier doit à deux reprises s'interposer et rappeler au commandant les devoirs de sa charge. » Lire Bertrand Joly, p. 67.
  3. Référencer avec Ph. Oriol.