File:Cette scie, ou 'tronçonneuse', d’un modele tre perfectionne, en debite 17 simutanement. Le pavé de bois a détrôné le vieux pavé de grès, Almanach illustré du Petit Parisien, 1908, Gallica (bnf.fr, retouched).jpg

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Français : Cette scie, ou 'tronçonneuse', d’un modele tre perfectionne, en debite 17 simutanement. Le pavé de bois a détrôné le vieux pavé de grès, Almanach illustré du Petit Parisien, 1908, Gallica (bnf.fr, retouched)

Le pavé de bois a détrôné le vieux pavé de grès

La difficulté de trouver un mode de pavage réunissant certaines conditions indispensables telles que : égalité de résistance au frottement et à la charge, modicité des prix de main-d’œuvre, de pose, d'entretien, etc., a conduit les ingénieurs des ponts et chaussées à essayer tout ce que l'imagination des inventeurs pouvait faire naître. En dehors des chaussées empierrées ou asphaltées, on a installé pendant un certain temps, dans une section des rues Tronchet et de Flandre, où la circulation est légère dans l'une et très chargée dans l'autre, des pavés de verre. L'usage ayant démontré que ces pavés étaient glissants et impossibles à réparer, on a dû y renoncer. Un essai fait, rue de la Victoire, avec des carreaux d'asphalte, n'a pas donné des résultats tellement avantageux que le service de la voirie ait cru devoir en généraliser l'emploi. On a fabriqué également des pavés en sciure de bois comprimée, mais leur désagrégation rapide, sous les influences atmosphériques, a motivé leur complet abandon.

De toutes ces tentatives, une seule semble donner des avantages tels qu'ils ébranlent la conviction des partisans du vieux mode de pavés en grès ; nous voulons parler du pavage en bois, qui est tout à fait moderne.

Une fabrique de pavés de bois.

Dès 1842, la Ville de Paris avait tenté, notamment rue du Dragon, quelques essais de pavages en bois, mais ce n'est guère qu'à partir de l'année 1881 que ce mode de revêtement fut pratiquement employé dans la capitale. Au début, l'exécution de tous les pavages en bois fut confiée à des sociétés concessionnaires, mais en 1886 le conseil municipal décida de tenter un essai d'exécution en régie ; à cet effet, un embryon d'usine fut installé quai de Javel, à l'angle de la rue des Cévennes, afin d'y préparer les pavés de bois nécessaires à l'établissement des chaussées du nouveau quartier Marbeuf.

L'essai ayant donné des résultats satisfaisants, il fut décidé qu'aucune concession nouvelle ne serait accordée, et, à partir de cette époque, la Ville exécuta elle-même tous ses nouveaux pavages. Les sociétés continuèrent à assurer l'entretien des 450 000 mètres superficiels d'avenues, carrefours et rues dont elles étaient concessionnaires et dont les baux expiraient il y a deux ans.

Depuis 1880, la Ville a exécuté de son côté, en régie, le convertissement en pavage en bois et l'entretien de près de 2 millions de mètres superficiels de chaussée, ce qui représente le chiffre considérable de 100 millions de petits cubes de bois!...

Notons en passant que les chaussées empierrées ne figurent, sur les statistiques de la voirie au 1er janvier 1907, que pour 1 million de mètres carrés, les chaussées asphaltées pour 400 000 et les voies de terre, c'est à dire n'ayant subi aucun traitement particulier, 18 430 mètres superficiels. Ce qui, avec les 6 millions de pavage en pierre, représente un total de plus de 10 millions de mètres carrés de chaussée à entretenir...

Le même service a également à sa charge 7 millions de mètres superficiels de trottoirs, revers pavés et contre-allées sablées...

Mais revenons au pavage en bois.

La « Tronçonneuse » a dix-sept lames de scie.

Le fonctionnement général de l'usine municipale a bénéficié, depuis la création, d'amélioration importantes dues à l'esprit inventif de son directeur, M. A. Josse. Nous n'entreprendrons pas de décrire en détails l'installation, aujourd'hui très complète, de cette usine unique au monde, et qui comprend : des ateliers de construction, de réparation, de crésotage, un matériel de manœuvres considérable et des machines diverses pour le sciage des pavés neufs et l' « ébarbage » des pavés vieux. Nous parlerons seulement du système de fabrication des pavés.

La majeure partie des achats porte sur le pin maritime des Landes, toutefois on procède sans cesse à des essais sur d'autres essences ; les unes qui, par leur qualités ou leurs prix peuvent concurrencer le pin des Landes, tels que : sapin du Nord, mélèze, pin Sylvestre ; les autres qui ont un prix plus élevé, mais dont l'emploi peut être nécessaire dans certains cas spéciaux : karri d'Australie ( au ton d'acajou ), chêne, hêtre, bois de fer, teack, liem, etc.

Au début, le tronçonnage – c'est le nom qu'on donne à l'opération – des madriers était exécuté à l'aide de scies à une lame qui découpaient un pavé à la fois. Plus tard, des « tronçonneuses » débitant 4 à 5 pavés d'un seul coup furent installées ; mais dès 1900, l'outillage était reconnu de nouveau insuffisant et il fallut songer à l'améliorer. C'est ce qu'on fit. Il convient tout d'abord de noter que le fonctionnement de l'usine ne peut être régulier et continu d'un bout à l'autre de l'année ; l’abattage des arbres en forêt ne peut se faire qu'à une époque déterminée, les arrivages ne sont pas réguliers, aussi n'est-il pas rare de voir la fabrication arrêtée pendant plusieurs semaines. D'autre part, les sorties de pavés ne se font que pendant la belle saison, après le vote du plan de campagne des travaux à exécuter.

Une fabrication continue obligerait à un emmagasinement considérable ; il en est de même des rentrées de vieux pavés provenant des relevés à bout ; le traitement de ces vieux pavés, ébarbage ou recépage, qui est effectué en majeure partie ( l'ébarbeuse mécanique portative inventée par M. Josse ne fonctionnant que dans certains cas sur la voie publique ) par le personnel de l'usine, ne peut se faire qu'en hiver. Enfin les plans de campagne sont d'importances variables, suivant l'état des finances de la Ville.

Pour ces multiples raisons, il devenait indispensable que l'usine fut pourvue d'un outillage lui permettant de parer aux accidents et aux à-coups et de répondre à tous les besoins. La création, par M. Josse, d'une tronçonneuse à dix-sept lames permettant le sciage automatique d'un madrier, soit seize pavés, a résolu fort avantageusement ce délicat problème. Cette machine a coûté 55 000 francs et débite environ 200 000 pavés par jour.

En quelques mots, voici comment elle fonctionne: les madriers, de 2 mètres, sont placés sur un transporteur-élévateur qui les élève jus qu'à la hauteur de la table horizontale, qu'on aperçoit dans notre gravure, là, ils sont immé diatement repris par les râteaux composant la chaîne sans lin d'un entraîneur. Les mandriers sont ainsi poussés jusque vers les groupes de la mes qui, en trois fois, les tram lient aux dimensions voulues. A la sortie des lames, les pavé sont alors entraînés sur un plan incliné d'où ils glissent sur des tables mobiles d'une vingtaine de mètres de longueur. A droite et a gauche de ces tables sont ménagés seize poste. desservis pat huit ouvriers, auprès desquels attendent seize wagonnets-citernes. Les pave jetés dans ces wagonnets sont ensuite conduits dans l'atelier de créosotage, puis dans h- dépot où ils sont empilés en attendant leur départ pour les chantiers.

Signalons, en passant, que le prix d'un pavé de bois tout posé revient à 35 centimes.

Qu'advient-il des vieux pavés?

Lorsque un pavage en bois est arrivé à l'échéance de sa durée, huit ou neuf ans, on procède à son relevé à bout ; les vieux pavés sont rentrés à l'usine et jetés pêle-mêle, en attendant le tri. Car, parmi ceux-ci, beaucoup sont incomplètement usés et encore sains ; ils subissent alors un traitement approprié à leur état et à leur degré d'usure, les uns sont recépés, les autres sont ébarbés. Le recépage consiste à enlever à la scie circulaire la croûte déformée du dessus. Dans la seconde opération, on fait disparaître, au moyen de l'ébarbeuse mécanique, imaginée également par M. Josse la « barbe » qui s'est produite à la périphérie du pavé par suite de l'écrasement des fibres provoqué par le roulage des voitures.

Pour ce qui est des déchets et des pavés trop usés, l'administration, se montrant telle qu'on voudrait toujours la voir : prévoyante et économe, vend le tout à raison de 50 centimes le mètre cube. De plus, ces débris constituent avec la sciure, le seul combustible utilisé, journellement, dans les chaudières de l'usine.

Deutsch: Diese Säge (französich "Tronçonneuse") ist ein sehr fortschrittliches Modell, das 17 Sägeschnitte gleichzeitig herstellt. Le pavé de bois a détrôné le vieux pavé de sandès, Almanach illustré du Petit Parisien, 1908, Gallica (bnf.fr, retuschiert um fehlende Bildbereiche zu ergänzen)

Das Holzpflaster hat das alte Sandsteinpflaster verdrängt.

Die Schwierigkeit, eine Art der Pflasterung zu finden, die bestimmte unerlässliche Bedingungen wie: gleicher Widerstand gegen Reibung und Belastung, geringe Preise für Arbeit, Verlegung, Instandhaltung usw. vereinte, veranlasste die Straßenbauingenieure, alles auszuprobieren, was die Phantasie der Erfinder hervorbringen konnte. Neben den geschotterten oder asphaltierten Fahrbahnen wurden eine Zeit lang in einem Abschnitt der Rue Tronchet und der Rue de Flandre, wo der Verkehr in der einen leicht und in der anderen stark belastet ist, Glaspflastersteine verlegt. Da die Erfahrung gezeigt hatte, dass diese Pflastersteine rutschig und nicht zu reparieren waren, musste man sie aufgeben. Ein in der Rue de la Victoire durchgeführter Versuch mit Asphaltfliesen führte nicht zu so vorteilhaften Ergebnissen, dass die Straßenbaubehörde meinte, die Verwendung dieser Fliesen verallgemeinern zu müssen. Es wurden auch Pflastersteine aus gepresstem Sägemehl hergestellt, die jedoch aufgrund ihrer schnellen Zersetzung unter atmosphärischen Einflüssen wieder aufgegeben wurden.

Von all diesen Versuchen scheint nur einer so vorteilhaft zu sein, dass er die Überzeugung der Anhänger des alten Sandsteinpflasters erschüttert; wir sprechen von der völlig modernen Holzpflasterung.

Eine Fabrik für Holzpflaster.

Bereits 1842 hatte die Stadt Paris, insbesondere in der Rue du Dragon, einige Versuche mit Holzpflaster unternommen, aber erst ab dem Jahr 1881 wurde diese Art der Pflasterung in der Hauptstadt praktisch angewandt. Zunächst wurden alle Holzpflasterungen von Konzessionsgesellschaften ausgeführt, doch 1886 beschloss der Stadtrat, einen Versuch in eigener Regie zu unternehmen. Zu diesem Zweck wurde am Quai de Javel an der Ecke zur Rue des Cévennes eine Fabrik errichtet, in der die Holzpflastersteine für die Straßen des neuen Viertels Marbeuf vorbereitet wurden.

Da der Versuch zufriedenstellende Ergebnisse erbrachte, wurde beschlossen, keine weiteren Konzessionen zu erteilen, und von diesem Zeitpunkt an führte die Stadt alle neuen Pflasterungen selbst durch. Die Gesellschaften sorgten weiterhin für die Instandhaltung der 450.000 Meter Avenuen, Kreuzungen und Straßen, für die sie Konzessionen hatten und deren Pachtverträge vor zwei Jahren ausliefen.

Seit 1880 hat die Stadt in eigener Regie fast 2 Millionen Meter Straßenfläche in Holzpflaster umgewandelt und instand gehalten, was einer Menge von 100 Millionen Kubikmetern Holz entspricht....

In der Straßenstatistik vom 1. Januar 1907 werden Schotterstraßen mit nur 1 Million Quadratmetern, Asphaltstraßen mit 400.000 Quadratmetern und unbefestigte Straßen, d. h. Straßen, die keiner besonderen Behandlung unterzogen wurden, mit 18.430 Quadratmetern angegeben. Dies ergibt zusammen mit den 6 Millionen Steinpflasterungen eine Gesamtfläche von über 10 Millionen Quadratmetern, die instand gehalten werden müssen...

Dieselbe Behörde ist auch für 7 Millionen Quadratmeter Gehwege verantwortlich, gepflasterte Rückseiten und sandgestrahlte Gegengassen...

Doch zurück zum Holzpflaster.

Die "Tronçonneuse " hat siebzehn Sägeblätter.

Die allgemeine Funktionsweise der städtischen Fabrik hat seit ihrer Gründung dank des Erfindergeistes ihres Direktors, Herrn A. Josse, bedeutende Verbesserungen erfahren. Wir werden nicht versuchen, die heute sehr vollständige Einrichtung dieser weltweit einzigartigen Fabrik im Detail zu beschreiben. Sie umfasst: Bau-, Reparatur- und Kreissägewerkstätten, ein beträchtliches Rangiermaterial und verschiedene Maschinen zum Sägen neuer Pflastersteine und zum "Entgraten" alter Pflastersteine. Wir werden nur auf das System zur Herstellung von Pflastersteinen eingehen.

Der größte Teil der Einkäufe entfällt auf die Seekiefer aus den Landes, aber es werden auch immer wieder Versuche mit anderen Holzarten durchgeführt; einige, die aufgrund ihrer Qualität oder ihres Preises mit der Kiefer aus den Landes konkurrieren können, wie Nordmanntanne, Lärche, Sylvesterkiefer; andere, die einen höheren Preis haben, deren Verwendung aber in bestimmten Spezialfällen notwendig sein kann: australisches Karri (mit mahagonifarbenem Ton), Eiche, Buche, Eisenholz, Teakholz, Liem usw. Die meisten dieser Holzarten sind in der Lage, mit der Kiefer aus den Landes zu konkurrieren.

Zu Beginn wurden die Bohlen mit Hilfe von Einblattsägen, die jeweils einen Pflasterstein abtrennten, gekappt. Später wurden "Kettensägen" installiert, die vier bis fünf Pflastersteine auf einmal schneiden konnten, aber schon um 1900 wurde festgestellt, dass die Werkzeuge erneut unzureichend waren und man musste über Verbesserungen nachdenken. Das wurde dann auch getan. Zunächst ist anzumerken, dass der Betrieb der Fabrik nicht regelmäßig und kontinuierlich von einem Ende des Jahres zum anderen erfolgen kann; das Fällen der Bäume im Wald kann nur zu einer bestimmten Zeit erfolgen, die Anlieferungen sind nicht regelmäßig, so dass es nicht selten vorkommt, dass die Produktion für mehrere Wochen eingestellt wird. Andererseits werden die Pflastersteine nur in der warmen Jahreszeit herausgebracht, nachdem der Feldplan für die auszuführenden Arbeiten abgestimmt wurde.

Die Bearbeitung dieser alten Pflastersteine, d. h. das Entgraten oder Neuverlegen, das größtenteils (die von Herrn Josse erfundene tragbare mechanische Entgratmaschine funktioniert nur in bestimmten Fällen auf öffentlichen Straßen) vom Personal der Fabrik durchgeführt wird, kann nur im Winter erfolgen. Schließlich sind die Pläne für die Kampagne je nach Finanzlage der Stadt unterschiedlich umfangreich.

Aus diesen Gründen war es unerlässlich, dass die Fabrik mit Werkzeugen ausgestattet wurde, die es ihr ermöglichten, Unfällen und Stößen vorzubeugen und allen Bedürfnissen gerecht zu werden. Die Entwicklung einer Kettensäge mit siebzehn Sägeblättern durch Herrn Josse, mit der automatisch eine Bohle, d. h. sechzehn Pflastersteine, gesägt werden konnte, löste dieses schwierige Problem auf sehr vorteilhafte Weise. Diese Maschine kostete 55.000 Francs und verarbeitet etwa 200.000 Pflastersteine pro Tag.

Die 2 Meter langen Bohlen werden auf einen Förderer gelegt, der sie auf die Höhe des horizontalen Tisches hebt, der auf unserem Bild zu sehen ist. Dort werden sie von den Rechen, aus denen sich die Kette zusammensetzt, ohne Flachs von einem Mitnehmer aufgenommen. Auf diese Weise werden die Mandrels in die Gruppen der Mes geschoben, die sie in drei Schritten auf die gewünschte Größe zusammenbinden. Die Pflastersteine werden dann von den Messern auf eine schiefe Ebene gebracht, von wo aus sie auf 20 Meter lange bewegliche Tische gleiten. Rechts und links von diesen Tischen befinden sich sechzehn Stationen, die von acht Arbeitern bedient werden und an denen sechzehn Kesselwagen warten. Die Pflastersteine, die in diese Waggons geworfen werden, werden in die Kreosotwerkstatt und dann in den Lagerraum gebracht, wo sie gestapelt werden, bis sie zu den Baustellen transportiert werden.

Der Preis für einen fertig verlegten Holzpflasterstein beträgt 35 Centime.

Was geschieht mit den alten Pflastersteinen?

Wenn ein Holzpflaster seine Lebensdauer von acht oder neun Jahren erreicht hat, wird es ausgehoben, die alten Pflastersteine werden in die Fabrik gebracht und durcheinander geworfen, bis sie aussortiert werden. Denn viele von ihnen sind nicht vollständig abgenutzt und noch gesund; sie werden dann einer Behandlung unterzogen, die ihrem Zustand und ihrem Abnutzungsgrad entspricht: Die einen werden nachgeschnitten, die anderen entgratet. Beim Nachschneiden wird die verformte Kruste der Oberseite mit einer Kreissäge entfernt. Bei der zweiten Operation wird mithilfe der ebenfalls von Herrn Josse erdachten mechanischen Entgratungsmaschine der "Bart" entfernt, der sich am Rand des Pflasters infolge der durch das Rollen der Autos verursachten Quetschung der Fasern gebildet hat.

Was den Abfall und die übermäßig abgenutzten Pflastersteine betrifft, so zeigte sich die Verwaltung so, wie man sie immer sehen möchte: vorausschauend und sparsam, und verkaufte alles für 50 Centimes pro Kubikmeter. Außerdem ist dieser Schutt neben Sägemehl der einzige Brennstoff, der täglich in den Kesseln der Fabrik verwendet wird.
Date
Source https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5830101h/f69.item.r=
Author Le pavé de bois a détrôné le vieux pavé de grès, Almanach illustré du Petit Parisien, 1908, Gallica (bnf.fr)
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