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Port au Choix, Newfoundland. Seen here from across Gargamelle Cove, Port au Choix is a fairly large town of 850 citizens. Settled in the very early 20th Century after some 350 years of its harbour being known to Europeans, its name comes from the Basque "Portutxoa", or "the little port". Later on, after the French were granted fishing rights off Newfoundland's west coast in 1713, the name was Gallicized to its current spelling ("Port aux Choix" is also recorded). Despite the collapse of the North Atlantic cod stocks in the early 1990s, the fishery remains the cornerstone of Port au Choix's economy in the present day - the town boasts a sizable fleet which catches mackerel, herring, and other species, as well as a large shrimp processing plant - and the Port au Choix National Historic Site is an archaeological treasure trove bearing remnants of four different pre-Columbian cultures.

Port-au-Choix, Terre-Neuve. Vu ici depuis l'autre côté de l'anse Gargamelle, Port-au-Choix est un village assez grand de 850 citoyens. Colonisé très tôt pendant le XXe siècle suite de 350 années pendant lesquelles son port était connues chez les Européens, son nom provient du mot basque «Portutxoa», ou «le petit port». Plus tard, après ce que les Français ont été accordés des droits de pêche au large de la côtes occidentale de Terre-Neuve en 1713, le nom a été francisé à son orthographe actuelle («Port-aux-Choix» est aussi enregistré). Malgré l'effondrement des stocks de morue de l'Atlantique Nord au début des années 1990, la pêche demeure la pierre angulaire de l'économie de Port-au-Choix en nos jours - le village dispose d'une flotte importante qui attrape les maquereaux, les harengs, et d'autres espèces, ainsi que d'une grande usine de transformation de crevettes - et le Lieu historique national de Port-au-Choix est un trésor archéologique qui contient les restes de quatre cultures précolombiennes.