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Rocky Harbour, Newfoundland. Seen here from Lobster Cove Head, this is easily the largest and most important town in its vicinity (population roughly 1,000), not to mention the main service centre for visitors to Gros Morne as well as area residents: in Rocky Harbour's commercial district, splayed out along Main Street North, you can find an ATM, a fair-sized grocery store, a number of restaurants and hotels, and a host of other services that its tiny neighbouring settlements lack. In the 18th and 19th Centuries, the harbour that gave the town its name was frequented by French fishermen, to whom the waters off the west coast of Newfoundland (the so-called "French Shore") were ceded in 1713, under the auspices of the Treaty of Utrecht. The first settler, one John Paine, arrived no later than 1809, but the town as such dates to around 1874. By 1900, a post office, a schoolhouse, and an Anglican church served a small but vibrant community where the main economic activity, as elsewhere in the region, was either fishing or logging, depending on the season.

Rocky Harbour, Terre-Neuve. Vu ici depuis le cap Lobster-Head, c'est de loin la plus grande et la plus importante ville dans son voisinage (avec une population d'environ 1.000), sans oublier le centre de service principale pour les visiteurs à Gros-Morne ainsi que pour les résidents de la région: au quartier commerçant de Rocky Harbour, évasé le long de la rue Main Nord, on trouve un guichet automatique, une épicerie assez grande, quelques restaurants et hôtels, et beaucoup d'autres services que ses petits villages voisins manquent. Pendant les XVIIIe et XIXe siècles, le port qui a donné son nom au village était fréquenté par les pêcheurs français, à qui les eaux au large de la côte ouest de Terre-Neuve (appellée la «Côte française») avaient été cédés en 1713, sous les auspices du traité d'Utrecht. Le premier colon, John Paine, est arrivé pas plus tard que 1809, mais la ville en soi rémonte à environ 1874. Dès 1900, un bureau de poste, une école, et une église anglicane servait une communauté petite mais dynamique où la principale activité économique, comme ailleurs dans la région, était soit la pêche ou l'exploitation forestière, selon la saison.