File:Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre (1894) (14801317433).jpg

Identifier: lesaccouchement00witk (find matches)
Title: Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre
Year: 1894 (1890s)
Authors: Witkowski, G.-J. (Gustave Joseph), 1844-1923
Subjects: Obstetrics Medicine and art Literature and medicine Theater
Publisher: Paris, G. Steinheil

View Book Page: Book Viewer
About This Book: Catalog Entry
View All Images: All Images From Book
Click here to view book online to see this illustration in context in a browseable online version of this book.

Text Appearing Before Image:
)eau Uiu-con. LE MARY Cette nouvelle me soulage,Voilà tout mon deuil eiïacé.Sus, mon cœur, ayez bon courage,Vostre mal est tantost passé. LA DÉVOTE Dans ce pénible elfort, à qui nest comparable Aucun autre tourment,Dôlivrez-la, Seigneur, et soyez secourable A son enfantement. Comme suite de cette gravure, A. Bosse représente la Visite àVaccouchcc (fig. 153), avec cette autre légende, également rimée : laccouchée Le travail de lenfunt est un mal si nuisibleQue je ne puis assez men j^laindre désormais.Si je pouvois tenter une chose impossible.Je jurerois, ma foi, de ny tomber jamais. (1) 1002 1G76. 174 L OBSTETRIQUE
Text Appearing After Image:
FiG. 153. PANS LES hfaix-ahts 175 LKS MKMOISKLLES Muiliiiiii, le limt,(r où la femme s«;xj)OS(,lijiir contenter un peu ce naturel désir,Keçoit 00 reconfort que cest bien peu de choseOuun moment de douleur pour neuf mois de plaisir. LKS UOURGLOISES I)iit> (juo nous trouvons ce martire agréable,I )e nos niarys railleurs sont les communs propos,Mais hrlas sils sontoient cest esl)at tout ayniable,Xt)usne les verrions jias sy souvent en repos. .lentends contre un mary oc conseil qui murmure,Mais cest blâmer à tort linnocent en ce faict^Clar sy dans ce mestier quebjue mal on endure,Ce nest pas bien souvent le mary qui la faict. Après le « caquetoire » de raccoucliée, vient la Nourrice du niôineartiste (pg. loi) ; comme toujours des vers avec la gravure, ceux-làassez drùles daus leur polissounerie vulgaire et naïve : La mine de cette accouclièeMe semble si fort en bon point.Ôue volontiers pour mon pourjioint.Je voudrais la voir empêchée. A cette jj^entille nourrice,Clui

Note About Images