File:Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre (1894) (14781150945).jpg

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Title: Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre
Year: 1894 (1890s)
Authors: Witkowski, G.-J. (Gustave Joseph), 1844-1923
Subjects: Obstetrics Medicine and art Literature and medicine Theater
Publisher: Paris, G. Steinheil
Contributing Library: Fisher - University of Toronto
Digitizing Sponsor: University of Ottawa

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ns. — De quel précieux dépôt la nature a chargé la femme! disait-il à son beau-frère, en allant à pied, car le jardin n'était qu'à deux pas : elle porte toute ma postérité. — Peut-être des héros futurs, répondit le jeune prince de L. — Votre sang et le mien en ont produit plus d'un. — Je le crois, répondit le prince. Arrivés à la porte des Tuileries, par la cour du Manège, les porteurs s'arrêtèrent. Le frère et le mari présentèrent la main à celle qui leur était si précieuse, et ils entrèrent dans l'allée des Feuillants. Les marronniers étaient en fleurs : c'était le plus beau jour de mai. La duchesse respirait avec délices le parfum du printemps, et la douce influence du rayonnant époux de la nature donnait un nouvel éclat à ses charmes. IIANS LKS HEALX-AIITS Quelle était belle! mais mille fois plus intéressante encore. Le duc la regardait avec cette admiration concentrée qu'on pourrait apjxiler la1 i I i mrine et de toutcc «(ui nous appartient.
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FiG. 38. En ce moment, la duchesse posa son pied délicat sur un petit caillou rond qui la fit hausser de deux lignes : elle en sourit, mais le duc effrayé devint pâle et fut au désespoir d'être sorti. Le prince de L le rassurait. Mais comment rassurer un mari de quarante ans, qui n'avait point eu 46 lobstétrique de postérité de sa première femme, et qui redoutait plus que la mort l'extinction de sa race ! Il était prêt à faire appeler les porteurs. — Je vous en prie, lui dit Églé, laissez moi respirer ici l'air et cette verdure naissante. Il était douteux que le duc y eût consenti, quand le jeune prince aperçut le docteur Franklin au bas de la terrasse. Il courut au vieillard républicain, et le pria de venir rassurer le duc. — Vous allez voir qu'il me fera promener, disait la jeune duchesse. — Madame, il vous prescrira des précautions plus grandes encore. — Oh! qu'il ne vienne donc pas Le héros américain les aborda. — Est-ce que Madame est trop faible pour marcher

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