File:Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre (1894) (14779093554).jpg

Identifier: lesaccouchement00witk (find matches)
Title: Les accouchements dans les beaux-arts, dans la littérature et au théatre
Year: 1894 (1890s)
Authors: Witkowski, G.-J. (Gustave Joseph), 1844-1923
Subjects: Obstetrics Medicine and art Literature and medicine Theater
Publisher: Paris, G. Steinheil
Contributing Library: Fisher - University of Toronto
Digitizing Sponsor: University of Ottawa

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FiG. 151. est restitué dans une miniature de ïHUtoire de la /iellc-I/clène,manuscrit de cette époque. Une peinture de Jules Romain nous donne une scène daccou-chement à Home au commencement du XVP siècle (fig. 251, ibid). Jacques G:dlot fait accoucher en plein air (/j^. 151), aux piedsdun arbre, la bohémienne enceinte qui figurait au premier plan dela gravure reproduite dans la première partie (fig. :23). Il ne seraitpoint sage de conter aux enfants de la troupe que les enfants vien-nent sous les choux; ajoutons quau reste les soins de la marmitesemble plus les préoccuper que les détails de laccoucliement. Un 172 L OBSTETRIQUE artiste de lécole de Callot, Teniers le jeune a représenté YAccou-
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FiG. 152.chemeni dune bohémienne, mais il place la gisante(suiun lit con- DANS LKS HKAIX-AHTS 173 roit:il)lo,alnité dans une sorte de caverne, sur le bord dune route.J.e graveur Abraham lîosse (1), qui continuaCallot, a dépeint lesniirurs faiiiilirres du XVII siècle dans une série de curieusesestampes, parmi lesquelles se trouve une scène daccouchen.ent surun lit de misère (fig. 152). Cette intéressante étude de coutumesl)oiirj^ooises est accompagnée dune légende versiliée : laccouchée llihis ! je nen puis plus, le mal »iui nio possùde Alïailtlit tous mes sens :Miin corps sen va mourant, il nest point de remède Aux peines ((ue je sons. LA SAGE FEMME Madame, pienez patience,Sans crier de cette façon ;(Ton est fait, en ma conscience,Vous accoudiez dun ))eau Uiu-con. LE MARY Cette nouvelle me soulage,Voilà tout mon deuil eiïacé.Sus, mon cœur, ayez bon courage,Vostre mal est tantost passé. LA DÉVOTE Dans ce pénible elfort, à qui nest comparable Aucun autre tourm

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