File:Histoire naturelle des oiseaux (1770) (14748703611).jpg

Identifier: histoirenaturell005buff (find matches)
Title: Histoire naturelle des oiseaux
Year: 1770 (1770s)
Authors: Buffon, Georges Louis Leclerc, comte de, 1707-1788 Guéneau de Montbéliard, Philibert, 1720-1785 Adams, John, 1735-1826, former owner. BRL Boston Public Library (John Adams Library) BRL
Subjects: Birds
Publisher: Paris : De l'Imprimerie Royale
Contributing Library: John Adams Library at the Boston Public Library
Digitizing Sponsor: Internet Archive

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Text Appearing Before Image:
mp; comme frangée par le bout,le géfier mufculeux, précédé dune pocheformée par la dilatation de lœfophage,)a véficuie du fiel verte, des cœcum très-petits & très - courts , enfin la premièrephalange du doigt extérieur foudée à celfedu doigt du milieu. Lorlquils arrivent au printemps ilsfont la p-uerre aux infectes & vivent defcarabées, de chenilles, de vermiileaux,en un mot, de ce quils peuvent attraper ;mais leur nourriture de choix, celle dontils font le plus avides, ce font les cerifes,les figues fi), les baies de forbier, lespois, &c. Il ne faut que deux de cesoifeaux pour dévaluer en un jour uncerifrer bien garni, parce quils ne fontque becqueter les cerifes les unes après (i) Ceft de-là quon leur donne en certains paysles noms de beefigues, de avaûÇctyç, Sic. & ceflpeut-être cette nourriture qui rend ieur chair fibonne à manger. On lait que les figues produiferitSe même effet fur la chair des merles & dautresoifeaux. Tl.XVH.Fgl7.3S8.
Text Appearing After Image:
vay. i&5. Au Loriot. 359 ïes autres, & nentament que la partie laplus mûre. Les loriots ne font point faciles à éleverni à apprivoifer. On les prend à la pipée,à labreuvoir & avec différentes fortesde filets. Ces oiféaux fe font répandus quelque-fois julquà lextrémité du continent, tansfubir aucune altération dans leur formeextérieure ni dans leur plumage ; car ona vu des loriots de Bengale & même de îa; Chine parfaitement femblables aux nôtres;mais aufli on en a vu dautres venant àj peu - près des mêmes pays, qui ontj quelques différences dans les couleurs, &que lon peut regarder, pour îa plupart,I comme des variétés de climat jufquà ceque des obfervaîions faites avec foin furles allures & les mœurs de ces efpècesI étrangères, fur la forme de leur nid , &c.éclairent ou rectifient nos conjectures»

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