File:Der Ornithologische Beobachter (1921) (20676267589).jpg

Title: Der Ornithologische Beobachter
Identifier: derornithol1919211922alas (find matches)
Year: 1902 (1900s)
Authors: Ala, société suisse pour l'étude des oiseaux et leur protection
Subjects: Ornithology; Birds
Publisher: (Bern? : Ala, Schweizerische Gesellschaft für Vogelkunde und Vogelschutz)
Contributing Library: Smithsonian Libraries
Digitizing Sponsor: Biodiversity Heritage Library

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-. 14 — aipc änes (Onopordon acanthium), du laiteron (Sonchus oleraceus). — La Linotte. 30 juin, observe ad. et juv. sur les capitules de la Centaurea scabiosa L. — Le ß 0 u V r e u i 1. Juillet-Septerabre, quelques ind. sont stationnaires dans nos ver- gers. — Le P i g e o n r a m i e r. 28 sept., un ind. blessö sur la route de Bo- v^resse (Val de Travers). — Le P i g e o n c o 1 o m b i n. 15 sept., un chasseur tire 2 ind., pres des Bolets. — Le Grand-Tetras. 3 aoüt et 15 sept., un beau coq aux Cornees sur les Verrieres. — LaPerdrixgrise. Aoüt ä mi- septembre, on signale deux compagnies (10 et 25 ind.), aux Pr^s de Reuse, Vau- dijon, etc. — La C a i 11 e. 24 juillet, matin 8 h., chant dans les pres des Bayards; mi-juillet, ä Chincul (les Verrieres), nid avec 10 oeufs, la conveuse s'envole au passage de la faucheuse. — Le V a n n e a u. 12 sept., vol de 12, vers Perreux, Boudry. — Le h e r o n b 1 o n g i o s. Dans la Reserve: 5 juillet, cris des blongios dans les saules; 24 et 25 aoüt, 3 sept., nous levons un magnifique male. — La Foulque macroule. Au commencement de sept., nous avons dans la Re- serve une quarantaine de judelles ad. et juv.; puis leur nombre augmente. — Le Ca nard sauvage. 25 aoüt, vers 20 li. les halbrans sortent de la roseliere de la Reserve. 17 sept., de Chevroux ä Font, nous levons environ 60 mareches; devant Saint-Aubin une douzaine. — Le Grebe huppe. Cette espece devient toujours plus nombreuse, vu l'äccroissement des roselieres qui lui offrent une retraite süre. En sept., juv. sifflent encore et sont nourris par leurs parents. — Le G r e b e castagneux. Premiere Observation les 17 et 20 aoüt, baie d'Auvernier; 5 sept., 7 ind. (R.). — Larus argentatus cachinnans. 3 sept., 5 ou 6 ind. au vol, Reserve; 12 sept., vers Cudrefin 1 ad. et 1 juv. en plumage de transition; trois devant Chevroux et quelques individus isolös devant Estavayer, Font et en plein lac. — La M 0 u e 11 e r i e u s e. Mi-juin, les premieres reapparaissent devant la Serriere; puis disparition; 12 et 13 juillet, les gueux sont de nouveau lä. Au 30 sept., nous n'avions observe aucun juv. 1921, d'Auvernier ä Neuchatel. Hirondelle de fen§tre ä l'Eggishorn (Valais). L'Ornitho- logiste a publie (XVIe annee, 1918—1919, p. 177) une notice faunistique sur l'Eggishorn, par J. Schinz. Pour completer cette notice, j'ajouterai que, lors d'un court sejour, du 14 au 20 juillet 1921, ä l'Hötel Jungfrau (2200 m.), sur la pente de TEggishorn, j'ai vu trois cöuples d'Hirondelles de feni^tre, Hirundo urbica(L.), qui construisaient leur nid contre le haut de la facade de l'Hötel, sous l'avant-toit. C'etait la premiere fois, m'a-t-on dit ä l'Hötel, que l'on constatait la presence de cette espece. Prof. M. Boubier.
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Gefährdung der Tier- und speziell der Vogelwelt in den Spitzbergen.') Die nordische Tierwelt ist stets grossen Verfolgungen seitens des Menschen ausgesetzt, der in den arktischen Regionen immer noch förmliche Raubwirtschaft treibt. Der Bestand der Wale ist schon stark dezimiert worden usw. Aus der Antarktis kommt die traurige Nachricht, dass die Pinguinen ein Ausbeutungsobjekt (Fettgewinnung) geworden sind. Doch auch im Norden muss die Vogelwelt in er- höhtem Masse herhalten. In den Tageszeitungen war in der letzten Zeit folgendes zu lesen: „Die von der Universität Oxford organisierte Spitzbergen-Expedition konnte sich jüngst von den schrecklichen Verwüstungen überzeugen, die unter der Vogel- welt Spitzbergens von den Eiersammlern angerichtet werden. Bis jetzt waren ge- wisse Teile der Nord- und Westküste den Vogeljägern nicht zugänglich gewesen wegen den Gefahren, die den Segelschiffen durch das Treibeis drohen. Durch Verwendung von Oelmotoren in den Segelschiifen wurde es nun aber möglich, auch jene Teile zu erreichen. So wurden denn die fester der grossen, dort brütenden Eiderentenkolonien systematisch geräumt. Es wurde ein solches Schiff mit 15,000 M Siehe auch: A. Mathey-Dupraz, Confcribution ti l'ornithologie du Spitzberg, „O. B.", Jahrg. XI und XH, 1913—1915.

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