File:Caractères phrénologiques et physiognomoniques des contemporains les plus célèbres, selon les systèmes de Gall, Spurzheim, Lavater, etc. (1837) (14598141868).jpg

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Title: Caractères phrénologiques et physiognomoniques des contemporains les plus célèbres, selon les systèmes de Gall, Spurzheim, Lavater, etc.
Year: 1837 (1830s)
Authors: Poupin, Théodore
Subjects: Phrenology
Publisher: Bruxelles, Établissement encyclographique
Contributing Library: The Library of Congress
Digitizing Sponsor: The Library of Congress

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nfin le menton ,avancé en saillie , imprime en quelque sorte le sceauà lensemble de ce noble et sérieux caractère, quesoutenait un si grand*génie. 104 AFPECTÏONIVITÉ. IV. AFFECTÏONIVITÉ. M. J. LAFFITTE. 0 mes amis, il ny a point damis ! ARISTOTE (1). Cet organe , situé de chaque côté du crâne, à lex-térieur de la Phiîogéniture et de VHabitativiié, estplus développé chez les femmes que chez les hommes.11 produit la sociabilité, mais il ne détermine pas lechoix des amis et de la société ; ce choix dépend gé-néralement des facultés qui raccompagnent. Lune des plus belles facultés de notre âme estassurément lAffectionivité ; nos sens nont point partà ce sentiment, notre âme seule en est affectée. LAf-fectionivité est le lien des cœurs vertueux et sensibles.Nous disons sensibles, car on peut être bon et obli-geant et ne pas connaître les douceurs de lAffeclioni-vité ; nous disons vertueux parce que les méchans ont (1) Vira Aristotelis, Mb. 6. IFL.IY
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^l// ///y/ g eriée AFFECTI0NIV1TÉ. lOo des complices, les voluptueux des compagnons de dé-bauche , les riches des courtisans , les oisifs des liai-sons , mais les cœurs vertueux ont seuls des amis. Il nVst point sans vertu de solide amitié (1). Quoiquil ne soit pas nécessaire dêtre supérieuraux autres hommes par son génie ou par ses talens ,pour connaître et goûter le bonheur de lÀffectioni-vité, nous pensons, avec Labruyère, quil faut ce-pendant une finesse de tact qui est incompatible avecla médiocrité , car cest lélévation de lesprit quidonne au sentiment cette fermeté et cet agrément quile rendent inaltérable , et, nous le répétons , si lesqualités de lesprit resserrent les nœuds de lÀfTec-tionivitè et y répandent des charmes , la vertu doiten être la base, puisque cest le goût de lhonnête etdu beau ; cest lamour de la vertu qui fait naître ennous le besoin daimer, pour trouver dans un ami unsoutien contre nos propres faiblesses. Laffectionivité es

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